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Les culottes de Monique

Les culottes de Monique

Du plus loin que je me souvienne, j'ai toujours adoré porter des culottes de femme, comme celles qu'elles portait dans les années 70.
Mon plus vieux souvenir remonte à mes 18ans. Mes parents m'envoyaient tous les ans une semaine chez une copine de maman qui habitait en Normandie. Elle était autrefois notre voisine et était la meilleure amie de maman. Sachant que son mari était toujours en déplacement, et qu'elle avait besoin d'aide, surtout l'été, j'y allais de bon coeur. Elle était très gentille avec moi et pas trop exigeante pour lui donner un coup de main. Quelques heures par jour, souvent l'après-midi, suffisaient.
Dès que Monique partait en courses, j'en profitais pour aller dans sa chambre et ouvrir ses armoires. Son mari était en déplacement toute la semaine.
Pour moi, c'était la caverne d'Ali Baba. Des corsets, des culottes, des gaines, des fonds de robe, des collants, tout ce que, j'ignore pourquoi, me faisait rêver. J'ai d'ailleurs gardé une attirance pour ce genre de lingerie, culottes bien couvrantes, blanches, satinées, et tout ce qui est un peu vintage.
Je me mettais nu et enfilais toute cette lingerie en m'admirant dans l'armoire à glaces qui trônait dans la chambre.
Je ne savais plus où donner de la tête pour ne rien manquer, culottes, nuisettes, bas, etc. Je jetais toujours un regard par la fenêtre de la chambre pour surveiller le retour de Monique.
Une fois pourtant, entrainé par le plaisir que me procurait cette activité, je ne l'ai pas entendu revenir. Je me masturbais tranquillement en petite culotte et nuisette quand j'ai entendu la porte de la maison s'ouvrir. Mon coeur a fait un bond !
Si Monique montait dans sa chambre, j'étais pris la main....dans la culotte.
Heureusement, à peine était-elle rentrée qu'on a sonné à la porte. C'était le facteur (eh oui, ça n'est pas une légende). Il apportait un recommandé. Je me souviens, il s'appelait Marcel et était plutôt bel homme.
Monique l'a fait rentrer, à l'époque les liens étaient étroits avec les préposés, entre les services rendus et les calendriers de fin d'année.
J'ignore pourquoi, je ne me suis pas déshabillé. J'étais en haut de l'escalier à essayer d'écouter leur conversation. Je n'entendais pas grand-chose puis tout à coup plus rien. Ou plutôt, plus de paroles. Plutôt des gémissements.
Je risquais une descente sans faire de bruit et j'aperçu par la porte entrouverte de la cuisine, Monique, face à l'évier, avec Marcel derrière elle. Elle était en culotte et soutien-gorge, sa robe à ses pieds. Marcel lui massait les seins qu'elle avait gros et lourds. Il dégrafa le tissu et libéra ces magnifiques appendices. Je voyais les seins de Monique pour la première fois. Ils étaient magnifiques.
Bien sûr, j'avais la main dans ma culotte (celle piquée dans ses tiroirs) et me caresser devant ce beau tableau.
Marcel lui baissa sa culotte jusqu'aux genoux et découvrit 2 fesses splendides, rondes et fermes à souhait. Je n'imaginais pas Monique aussi excitante.
Il bandait et avait une queue impressionnante (mieux que ma bite d'ado). Je la vis s'enfoncer dans l'intimité de ma logeuse qui commença à gémir.
C'est à ce moment-là qu'elle tourna la tête vers la porte et m'aperçut. Contrairement à toutes attentes, elle ne dit rien et porta un doigt à ses lèvres pour me dire "chut".
je continuais donc à la regarder se faire baiser par le facteur tout en me masturbant dans sa lingerie.
Ses seins lourds ballotaient au-dessus de l'évier au rythme des coups de rein de Marcel. Je la trouvais splendide.
Marcel et moi avons éjaculé en même temps, et je suis vite remonté dans la chambre de Monique.
Quelques minutes plus tard, une fois le facteur parti, elle est monté me voir. J'étais toujours en nuisette et culotte. Je ne voyais plus l'intérêt de me cacher puisqu'elle m'avait vu la mater.
Elle m'a dit : Tu es très jolie comme ça. ça te plait de mettre mes culottes ? Tu sais, ça pourrait être celles de ta maman, nous avons le même âge.
J'avais peur de me faire réprimander, j'ai répondu que oui, je trouvais ça agréable, qu'il m'était déjà arrivé de fouiller dans les affaires de maman. Elle a caressé la dentelle et m'a dit qu'effectivement, ça m'allait très bien.
Ses caresses me donnait une nouvelle érection que je voulais cacher. Elle a pris ma main et l'a posée sur son sexe poilu. Elle a écarté les jambes pour ouvrir ses lèvres et a dirigé mes doigts dans son intimité encore toute chaude, et souillée du sperme du préposé. De son autre main, elle a commencé à me masturber. Je la voyais gémir à nouveau et il n'a pas fallu longtemps avant que je jouisse une nouvelle fois.
Une fois terminé, elle m'a demandé de surtout ne pas parler de cette journée à son mari si je venais à le croiser. Je pourrais mettre ses culottes tant que je voudrais.
J'ai gardé ce secret, et aller savoir pourquoi, depuis, je porte des petites culottes tous les jours, à l'insu de mon entourage. J'adore me travestir. ça m'a valu d'autres histoires tout aussi excitantes, mais ça, ce sera pour une prochaine fois.....

Dernière réponse le 19 mai
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Photo de MARYANE
65 • MARYANE
177 km • Travesti
a publié ce sujet le 19 mai
Sloannn
31 • Sloannn
Belle histoire
Le 19 mai